Constats du contexte actuel
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Au total plus de 40 millions de personnes sont stréssés. Près d'un salarié sur trois en Europe a un niveau de stress trop élevé.
Ce phénomène a un coût humain important (souffrances, maladies) mais aussi un coût économique (perte de productivité, absentéisme).
Le mal être au travail, qu'il soit psychologique, physique, ou social, est à l'évidence un facteur de baisse de performance pour les entreprises et pour l'économie.
A l'heure de l'allongement de la durée de cotisation et de la pénurie annoncée de main-d'oeuvre, la préservation du bien être des collaborateurs représente l'un des facteurs majeurs de performance de l'entreprise.
Notre approche psychosociale du bien-être au travail vise à intervenir pour déclencher des actions efficaces sur le terrain.
S'appuyant sur des professionnels d’expérience et de qualité, TOP PARTNER par son Pôle RH, fournit aux entreprises des interventions d'un genre nouveau corrélant bien-être au travail et performance globale de l'entreprise.
Nos missions s'inscrivent dans une démarche éthique de société responsable et font de la Santé au Travail une composante d'avenir du développement durable.
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| Les risques psycho-sociaux
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En l'absence d'une définition stabilisée et reconnue, les risques psychosociaux recouvrent les risques professionnels qui portent atteinte à l'intégrité physique et à la santé mentale des salariés : • stress, • harcèlement moral, • violence au travail...
Ces risques sont à l'origine de pathologies professionnelles telles que les dépressions professionnelles, les maladies psychosomatiques, les problèmes de sommeil, mais aussi de pathologies concernant la santé physique.
Le développement de l'intensification du travail est une des sources d'accroissement des risques psychosociaux. Les origines de cette intensification sont diverses : la contrainte de temps, les cadences élevées, le manque de maîtrise des tâches, de difficiles relations hiérarchiques, les changements non acceptés,...
Ces risques doivent faire l'objet de mesures préventives afin de les supprimer ou de les limiter au maximum . La nature et l'origine de ces risques place l'organisation du travail et le dialogue social au cœur des mesures de prévention.
Une partie de ces risques peuvent être supprimés avec une nouvelle organisation des conditions d'exécution du travail et/ou une gestion du personnel mieux adaptée. Projet de loi de modernisation sociale adopté par le parlement.
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Loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002.
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L'organisation perçue comme trop procédurière et la charge de travail parfois trop élevée expliquent en grande partie le stress ressenti par les salariés et les dirigeants au sein de l’entreprise. La mise à jour de ce phénomène permet à l'entreprise d'aborder d'une manière différente les questions de qualité de vie et de conditions de travail.
Elaborer une politique de prévention des risques nécessite au préalable une compréhension des situations critiques. Celle ci doit permettre d'identifier les moyens nécessaires à leur gestion par l'entreprise. Les salariés souffrent et le climat social est dégradé.
Une intervention extérieure sur l’amélioration du fonctionnement permet de rétablir le dialogue et de désamorcer les conflits interindividuels en donnant un sens aux difficultés vécues par chacun.
Mettre des mots sur des sensations de stress, apporter des explications pour ouvrir des débats et permettre de chercher des solutions. Cette démarche permet de débloquer une situation individuelle de souffrance et d'améliorer le climat social.
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